De l'Amertume au Zeste de vie
Amertume tu demeures
Bien souvent dans mes pleurs.
Comme autant de poison
Déversé sur ma raison.
Et quand je reprends pied
Fourvoyée par tes traits,
Grande déception,
Hésitante illusion,
Immédiatement me ramènent.
Jonglant entre amour et haine,
Kaléidoscope de douleurs
Lentement, sournoisement,
Menace mes pleurs.
Nulle part où aller
Ou endroit où me cacher.
Poursuivre encore ce chemin
Que je ne sais plus mien.
Rien qu’une fois me révolter,
Surprise d’y être enfin arrivée
Tendre la main et m’agripper
Une dernière fois à cet espoir
Vie que j’ai tant voulu quitter
Wagon de tristesse et désespoir.
Xylographe de mes tourments
Y grave les fragments,
Zestes d’une vie enfin révolue.
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